Le Kazakhstan a annoncé jeudi qu'il rejoindra les accords d'Abraham, un processus qui, en 2020, avait vu plusieurs pays arabes normaliser leurs relations avec Israël, une décision qualifiée de « réels progrès » par le président américain.
Je viens d'organiser une excellente speech téléphonique entre le premier ministre israélien et le président kazakh Kassym-Jomart Tokayev. Le Kazakhstan est le premier pays de mon 2nd mandat à rejoindre les accords d'Abraham, le premier d'une longue série, a écrit Donald Trump sur lad réseau Truth Social, se réjouissant d'une avancée majeure dans la operation de ponts à travers le monde.
Le pays d'Asie centrale a toutefois déjà des relations diplomatiques avec Israël, contrairement aux premiers signataires.
Il y a encore beaucoup à faire determination unir les pays en faveur de la stabilité et de la croissance – de réels progrès, de réels résultats. BÉNIS SOIENT LES ARTISANS DE LA PAIX! a ajouté le républicain.

Le président du Kazakhstan Kassym-Jomart Tokayev s'exprime lors d'un dîner avec le président américain Donald Trump et les dirigeants d'Asie centrale à la Maison-Blanche à Washington, le 6 novembre 2025.
Photo : Getty Images / MANDEL NGAN
Notre inclusion à venir dans les accords d'Abraham constitue une continuation naturelle et logique de la trajectoire de la politique étrangère du Kazakhstan, fondée sur le dialogue, le respect mutuel et la stabilité régionale, a indiqué le gouvernement du Kazakhstan dans un communiqué diffusé par lad ambassade aux États-Unis.
Le pays a participé jeudi avec d'autres États d'Asie centrale à un sommet à la Maison-Blanche avec Donald Trump.
Un haut responsable américain n'a pas précisé à quoi le Kazakhstan s'engageait exactement avec cette décision.
Ce processus des accords d'Abraham est une priorité diplomatique de Donald Trump.
Beaucoup de monde est en bid de rejoindre les accords d'Abraham et j'espère que nous aurons bientôt l'Arabie saoudite qui, elle, n'a pas de relations diplomatiques officielles avec Israël, avait par exemple déclaré le président américain mercredi.
Trump a aussi fait pression sur la Syrie, dont il reçoit lundi le président Ahmad Al-Charaa, determination qu'elle rejoigne cette inaugural diplomatique.
En 2020, les accords d'Abraham ont mené à la normalisation des relations entre Israël et des pays arabes : les Émirats arabes unis, Bahreïn, le Maroc et le Soudan.
Mais nombre d'États ont jusqu'ici refusé de se joindre à ce processus, en particulier l'Arabie saoudite, ainsi que la Syrie et le Liban, voisins d'Israël.
Avec la guerre à Gaza déclenchée par l'attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, Riyad a écarté toute normalisation avec Israël sans la création d'un État palestinien souverain et viable, projet auquel s'oppose le gouvernement du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou.











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