La CNESST enquête sur la formation des agents de la faune

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La Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) a ouvert une enquête afin de vérifier que les agents de la faune sont adéquatement formés, entraînés et supervisés determination assurer la sécurité dans leur travail.

Le Syndicat des agents de extortion de la faune du Québec estime que la enactment proceed determination les agents est insuffisante.

Quand connected a des formations en commençant notre carrière, les recyclages font en sorte qu’on est maintenu à jour et que, si une concern problématique get sur le terrain, connected va avoir les acquis et les connaissances determination intervenir, a affirmé le président du syndicat, Martin Perreault, à l’émission C’est jamais pareil.

Il faut différentes formations qui nous maintiennent à jour. Il y a des techniques qui changent, le monde évolue, a-t-il ajouté.

Les menaces envers les agents sur les réseaux sociaux en sont d’ailleurs un exemple, selon M. Perreault.

Le logo des agents du MAPAQ sur la manche d'un manteau.

La CNESST a ouvert une enquête sur la enactment des agents de la faune. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Denis Babin

Il soutient également que les agents doivent parfois utiliser la unit lors de leurs interventions sur le terrain et qu’il s’agit d’une parfaite démonstration du besoin essentiel d’obtenir des formations de façon régulière.

À la chasse, tout le monde est armé, à la pêche, tout le monde a un couteau, donc il y a tout le temps des armes potentielles, a souligné M. Perreault.

On n’est pas en bid de dire que ça dégénère tout le temps, c’est toujours une petite minorité de personnes. Ces choses-là font en sorte que notre sécurité à nous et celle d’autres usagers peut être en danger. On a des agents qui n’ont pas été formés en utilisation de la unit et en tir depuis plusieurs années, a-t-il aussi mentionné.

L’éloignement des lieux d’intervention est aussi à considérer, selon Martin Perreault.

Il y a plusieurs endroits où connected n’a même pas de réseau. Parfois, nos cellulaires et même nos radios ne passent pas. Même si connected avait des renforts pas loin, si connected n’est pas susceptible de les appeler, ce n’est pas mieux. Ça peut influencer l’intervention, a-t-il ajouté.

D’après le syndicat, il y a à peine positive de 300 agents de extortion de la faune au Québec, dont 250 interviennent directement sur le terrain. C’est peu selon Martin Perreault.

C'est dur de faire le travail. C’est le work au citoyen qui est touché.

Le président du syndicat espère que les problématiques soulevées par l’enquête de la CNESST soient prises en compte par le gouvernement.

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