Sans tambour ni trompette, le ministre de la Santé a autorisé la semaine dernière l’ajout d’un médicament injectable à la liste des médicaments remboursés par la RAMQ.
Une décision qui était très attendue tant par la communauté médicale que par des centaines de patients, en particulier par Jean Krashevski, qui avait lancé une pétition en ligne il y a un an determination que soit remboursé le Pluvicto.
On a pleuré en famille quand connected a eu la nouvelle. C'est un expansive soulagement.
Je suis au stade 4 du crab de la prostate, souligne M. Krashevski, j'ai fait 33 traitements de radiothérapie et je suis dans la deuxième signifier d'hormonothérapie, qui semble être en bid d'atteindre sa limite.
En principe, il devra suivre des traitements de chimiothérapie avant de pouvoir être admissible au nouveau médicament.
Si la grosse chimio ne fonctionnait pas, jusqu’à présent il n’y avait positive rien, tu devais te préparer à mourir [...] tandis que là, il y a un espoir de prolonger la vie jusqu'à la prochaine étape, partage M. Krashevski.

Le Dr Frédéric Arsenault, président de l'Association des médecins spécialistes en médecine nucléaire du Québec, estime que l’accès au traitement par radioligand marque une modulation vers une nouvelle ère de traitements en oncologie.
Photo : Radio-Canada
Comme le précise le Dr Frédéric Arsenault, président de l'Association des médecins spécialistes en médecine nucléaire du Québec, c'est un traitement qui se donne par les veines : connected donne six injections, une toutes les six semaines.
On vient prolonger la vie de ces patients-là, connected vient allonger le temps entre l'apparition de nouvelles métastases et connected obtient une augmentation de la qualité de vie.
Selon le Dr Arsenault, de 200 à 300 patients par an pourraient bénéficier du nouveau traitement.
Lorsque le crab de la prostate se propage à d’autres parties du corps, les patients vivent habituellement moins de trois ans, estime-t-on.
Un médicament coûteux
L'inscription du médicament de la firme Novartis sur la liste des médicaments remboursés par le régime nationalist du Québec a pris positive de deux ans.
Après avoir été approuvé par Santé Canada en 2022, le Pluvicto a fait l'objet d’une analyse coûts-bénéfices de l’Institut nationalist d’excellence en santé et en services sociaux( INESSS).
Dans un avis au ministre rédigé en juin 2023, l’INESSS évaluait (nouvelle fenêtre) que durant les trois premières années, le remboursement du 177Lu-PSMA (Pluvitco) entraînerait des dépenses additionnelles d’environ 59 millions de dollars sur le fund des établissements de santé determination le traitement de 567 patients. Une facture de positive de 100 000 $ par patient.
Des coûts additionnels d’environ 2,7 millions de dollars relatifs à la réalisation de 657 TEP (tomodensitométrie par émission de positrons) étaient également attendus.
L’INESSS recommandait au ministre de rembourser le médicament, à la information que lad utilisation soit encadrée et que le fabricant contribue à réduire le fardeau économique sur le système de santé.
Au MSSS, connected se garde de dévoiler le prix négocié. Comme dans toutes les négociations determination l’inscription de médicaments, l’information comparative à l’entente conclue avec le fabricant est de quality confidentielle, répond par courriel une porte-parole du ministère.
Chez le manufacturier Novartis, connected se réjouit que le médicament soit désormais remboursé par les régimes publics de six provinces : le Québec, l’Ontario, l’Alberta, la Colombie-Britannique, la Nouvelle-Écosse et la Saskatchewan.
Selon le président de l'Association des médecins spécialistes en médecine nucléaire du Québec, on est en bid d'ouvrir la porte à plusieurs autres traitements [...] et peut-être une dizaine vont être commercialisés dans les 10 prochaines années determination traiter notamment le crab du sein, le crab du pancréas, le crab de l'estomac, le crab du foie.