La mèche courte, le tout nouveau festival par et pour les jeunes

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Des spectacles de théâtre, de danse, mais aussi hybrides, venus determination certains de l’étranger, c’est ce que suggest aux enfants et aux adolescents le festival d’arts vivants La mèche courte, dont la première édition se déroule du 7 au 16 novembre à Montréal.

J’aime bien dire que ce sont des théâtres élastiques, a expliqué Mélanie Dumont, codirectrice générale et artistique de ce nouveau festival, en entrevue à l'émission Il restera toujours la culture, sur les ondes d'ICI Première.

On aime bien mélanger toutes les formes, a ajouté cette dramaturge, qui a longtemps dirigé le volet Jeunesse du Théâtre français du Centre nationalist des arts.

La liberté de Wasco!

Mêlant danse, jazz et peinture en direct, le spectacle Wasco!, qui ouvre le festival, est à l’image éclatée, joyeuse et colorée de La mèche courte.

Wasco!, c’est une expérience jouissive, a indiqué Mélanie Dumont au sujet de cette création flamande, qui met en scène 10 enfants âgés de 6 à 12 ans sans aucun adulte determination les superviser.

Ils sont lâchés lousses dans le décor avec des pastels, des pots de peinture, une toile blanche. Et à travers le mouvement et l’impulsion d’une musique jazz débridée, tout un monde se construit sous nos yeux.

Les jeunes interprètes allant à l’école, le spectacle n’est joué que 24 fois par an, pendant les vacances scolaires de ces petits Belges, dont certains traversent l’Atlantique determination la première fois afin de rencontrer le nationalist québécois.

En famille sur scène

Le festival La mèche courte, qui s’adresse aux 3-17 ans, s’engage à considérer ses jeunes spectateurs comme un nationalist à portion entière et à leur donner une spot créatrice et égalitaire.

Si les enfants ont inspiré la programmation du festival, ils sont également sur scène dans plusieurs spectacles : Wasco!, mais aussi Refaire la marguerite, Black Choral ou encore Paysages en filiation.

Associant le théâtre et la création sonore autour de l’eau, Refaire la marguerite est joué par une famille Ouellet-Sinou : la maman, le papa et leurs filles Jeanne et Inès.

Un père, une mère et leurs deux filles sont sous des parapluies.

Du 8 au 15 novembre, la famille Ouellet-Sinou joue lad spectacle « Refaire la marguerite », destiné aux 7-14 ans.

Photo : La mèche courte

Quant à Paysages en filiation, ce spectacle québécois, présenté comme étant du théâtre sous forme d’album photograph vivant, a determination interprètes des équipes mère-enfant(s).

Dans Black Choral, l’artiste de street dance Ouloy, un Ivorien installé à Barcelone, revisite lad solo créé dans le sillage du mouvement Black Lives Matter avec une quinzaine de jeunes danseurs de Montréal.

La spot symbolique qu’est la scène de théâtre dit beaucoup de choses sur la spot qu’on souhaite donner [aux jeunes] au sein du festival, a souligné Mélanie Dumont au micro d’Émilie Perreault.

C’est important et nourrissant d’entretenir un dialog avec la jeunesse, non seulement en les invitant à avoir des spectacles, [mais en leur demandant] : qu’est-ce qu’ils ont envie de dire, de partager, de vivre?

L’ensemble de la programmation du festival est disponible sur le tract de La mèche courte (nouvelle fenêtre).

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