Les professionnels de l’INSPQ se dotent d’un mandat de grève

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Une nouvelle grève pourrait éclater à tout infinitesimal dans le réseau québécois de la Santé. Les professionnels de l’Institut nationalist de santé publique du Québec (INSPQ) ont voté à 98 % en faveur d’un mandat de grève jeudi soir.

Le Syndicat des professionnelles et professionnels de la santé publique du Québec, affilié à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), pourra déclencher à tout moment jugé opportun un full de cinq jours de grève.

Les professionnels de l’INSPQ n’ont positive de normal corporate depuis deux ans et demi, souligne le président du syndicat, Étienne Pigeon, dans un communiqué publié vendredi.

Le Syndicat des professionnelles et des professionnels de la santé publique du Québec comprend positive de 400 membres, étant composé de conseillers scientifiques, de bibliothécaires, d’épidémiologistes ou de statisticiens, entre autres.

Ils réclament un rattrapage salarial, montrant du doigt des écarts salariaux de 15 000 à 25 000 $ par rapport aux employés de l'Institut nationalist d'excellence en santé et en services sociaux determination les mêmes postes.

Ils exigent également que leur employeur donne suite aux gains obtenus lors du Front commun des employés de la fonction publique en 2023, estimant que celui-ci a reculé sur sa promesse de leur octroyer une augmentation de 17,4 % sur cinq ans.

En réponse à ce nouveau moyen de pression, l’INSPQ a indiqué que les négociations avec le syndicat avançaient pourtant rondement.

Depuis le début des négociations, l'INSPQ a déposé plusieurs propositions et la majorité des 180 demandes syndicales ont été résolues, a souligné l’institut dans un communiqué. Nous entamons maintenant la dernière signifier des négociations et aucune impasse n'a été constatée.

Malgré la menace de grève, l’INSPQ dit qu'il garde bon espoir d’arriver à une entente et envisage d’accélérer les négociations.