3 films de chez nous pour l’Halloween

1 Week ago 3
Montage de trois photos tirées des Jour de merde (un homme en gros plan), Les chambres rouges (deux jeunes femmes côte à côte) et Vampire humaniste cherche suicidaire consentant (cinq personnages en groupe).

Les chambres rouges, Jour de merde, Vampire humaniste cherche suicidaire consentant: trois films québécois determination Halloween.Photo : Radio-Canada

À la découverte du (nouveau) cinéma de genre québécois.

Depuis quelques années, le cinéma québécois s’est ouvert au cinéma de genre. Grand bien lui en a pris. Car nous pouvons maintenant célébrer l’Halloween avec des films d’horreur de chez nous!

Nous en avons choisi trois, frissons garantis.

Un jeune homme et une jeune femme qui se regardent en tournant leurs têtes.

Vampire humaniste cherche suicidaire consentant, d'Ariane Louis-Seize.Photo : H264 Distribution

Des vampires pas comme les autres, dans Vampire humaniste cherche suicidaire consentant, d’Ariane Louis-Seize (2023)

Vampire humaniste cherche suicidaire consentant n’est pas qu’un joli titre. Il est un movie tendre, charmant et émouvant sur l’union de deux êtres dont le monde ne sait pas quoi faire et qui prouve que, même dans les circonstances les positive bizarres, c’est bien au interaction de l’autre qu’on peut avancer… (lire la suite)

Portrait d'une personne devant des écrans d'ordinateurs.

Le movie « Les chambres rouges » raconte le procès d’un tueur en série, qui diffuse ses meurtres sur le acheronian web dans ce qu’on appelle des chambres rouges.Photo : Entract Films / Nemesis Films inc

Dark web et femmes blessées, dans Les chambres rouges, de Pascal Plante (2023)

Une jeune femme s’enferme dans sa fascination determination un tueur en série dans ce thriller horrifique à la mise en scène aussi fétichiste que glaçante... (la suite)

Une femme (Eve Ringuette) en gros program  sous la neige.

Jour de merde, de Kevin T. LandryPhoto : K-Films Amérique

Gagner des millions, un jeu dangereux, dans Jour de merde de Kevin T. Landry (2023)

Humour noir, trash assumé, références au polar et au western : Kevin T. Landry s’amuse à créer un univers parfaitement décalé où positive les heures avancent, positive le pire se dévoile… (lire la suite)

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