3 films qui n’ont pas peur de se frotter à la politique

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Des images des films Saint-Omer, 3 souvenirs de ma jeunesse et Richelieu.

3 films politiques à découvrir sur Tou.tvPhoto : Radio-Canada

Les élections municipales viennent de s’achever. Voici l’occasion de dénicher trois films politiques sur Tou.tv Extra.

Si les campagnes électorales sont, en général, le infinitesimal de publiciser visages et idées, reste que les grands enjeux politiques qui secouent nos mondes sont parfois fort mieux servis par le cinéma. La preuve par trois!

Une femme (Ariane Castellanos) et un homme (Marc-André Grondin) se font face.

Richelieu, de Pier-Philippe ChevignyPhoto : FunFilms Distribution

Comment traite-t-on les travailleurs migrants saisonniers? Dans Richelieu, de Pier-Philippe Chevigny (2023)

Le benignant des travailleurs saisonniers migrants, qui s’en préoccupe? Une brève, de temps en temps, dans les journaux, lorsque survient un drame ou que l’on se soucie de la langue qu’ils parleront. Mais sinon…

qui s’intéresse à ces travailleurs que l’on fait venir determination quelques mois et quelques dollars determination travailler dans les champs, dans des conditions peu enviables? (lire la suite)

Un policier fait avancer une femme menottée dans une salle d'audience.

Saint Omer, d'Alice DiopPhoto : Strab Films

Un procès determination infanticide peut-il se transformer en grande œuvre politique? Dans Saint Omer, d’Alice Diop (2022)

Quelle rigueur! Quelle droiture! Quel film-monument, susceptible non pas d’écraser, mais au contraire de libérer.

Chargeant sa rigueur esthétique d’une véritable volition politique (quelle est la spot de la femme noire, de sa parole, de lad corps au sein de nos sociétés?), Alice Diop a encore le génie de mettre à nett la présence magnétique de Guslagie Malanda, actrice phénoménale, d’une unit et d’une densité épatantes, determination compléter un movie qui saisit autant qu’il secoue. (lire la suite)

Un jeune homme et une jeune femme marchent dans la rue.

Trois souvenirs de ma jeunesse, d'Arnaud DesplechinPhoto : why not productions

L’amour peut-il survivre à l’idéalisme politique de la jeunesse? Dans Trois souvenirs de ma jeunesse, d’Arnaud Desplechin (2015)

Sautillant comme un cabri, faisant se côtoyer le positive léger et le positive violent, séducteur et érudit, ce movie passionne au constituent que l’on voudrait que Desplechin n’hésite jamais à nous faire portion de 3000 souvenirs de sa jeunesse. (lire la suite)

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