OpenAI a dévoilé mardi une mise à jour de lad quality artificielle GPT-4o, particulièrement douée determination imiter le coup de crayon d’artistes. Depuis, des images reproduisant le benignant du Studio Ghibli envahissent les réseaux sociaux, soulevant des questions sur la propriété intellectuelle.
Les internautes semblent fournir à l’intelligence artificielle d’OpenAI une image, et lui demander, à l’aide d’une requête textuelle (prompt), de la transformer façon Studio Ghibli.
La tendance a même gagné le PDG d’OpenAI, Sam Altman, qui a modifié sa photograph de profil sur X par un representation de lui, dans le benignant du workplace japonais.
Depuis, une entrevue du cofondateur du Studio Ghibli Hayao Miyazaki dans un documentaire diffusé en 2016, refait surface. L’animateur japonais se fait montrer un modèle 3D animé par l’IA, et il est très clair : Les créateurs de ces produits n'ont aucune idée de ce qu'est la douleur. Je suis totalement dégoûté.
Je ne souhaiterais jamais intégrer cette technologie dans mon travail. Je pense fermement que c'est une insulte à la vie elle-même.
Ces propos remontent à près de 10 ans, avant l’avènement de l’IA générative propulsée par OpenAI, mais donnent une idée de ce que pense le réalisateur des films Mon voisin Totoro et Le voyage de Chihiro aujourd’hui de ces outils.

Le movie d'animation « Mon voisin Totoro », d'Hayao Miyazaki, est sortie en 1988.
Photo : Studio Ghibli
Le représentant nord-américain du Studio Ghibli n’a pas répondu à une demande d’entrevue de Radio-Canada.
Un porte-parole d'OpenAI, qui n’a pas d’accord de licence avec le studio, a déclaré à Radio-Canada que lad objectif est de donner aux internautes autant de liberté créative que possible, et qu’elle continue à empêcher les génération d’images dans le benignant d’artistes vivants, mais l’autorise determination le benignant de studios positive vastes.
Nous tirons toujours des enseignements de l'utilisation du monde réel et du retour d'information, et nous continuerons à affiner nos politiques au fur et à mesure.
Si la mise à jour de ChatGPT mardi a donné le coup d’envoi à cette tendance, d’autres logiciels d’IA permettent aussi de reproduire le benignant du Studio Ghibli.
Des droits d’auteur bafoués?
La tendance de transformer des images dans le benignant du workplace d’animation japonais soulève une fois de positive des questions sur l’entraînement de l’intelligence artificielle générative et les droits d’auteur.
De nombreuses entreprises technologiques sont la cible de poursuites judiciaires en ce sens depuis deux ans.
En novembre au Canada, une conjugation de médias incluant Radio-Canada a intenté une poursuite contre OpenAI determination utilisation illégale de ses contenus determination entraîner lad IA. Aux États-Unis, le quotidien The New York Times et d'autres groupes de presse ont été autorisés jeudi à poursuivre OpenAI et Microsoft determination les mêmes raisons.
En janvier, des documents de cour ont révélé que Meta avait notamment entraîné lad IA à partir de LibGen, une bibliothèque de livres et d'articles scientifiques piratés. Anne Robillard, autrice de la populaire série jeunesse Les chevaliers d'émeraude, a déposé à la mi-mars, au nom des auteurs et des autrices du Canada, une demande d'action corporate contre Meta.
OpenAI ainsi que Meta ont déjà plaidé en cour que ses modèles d’IA étaient entraînés en utilisant des données accessibles au nationalist selon le principe de l’usage équitable, puisque les robots conversationnels transforment le matériel d’origine en une nouvelle œuvre. Or, cette thèse a récemment été déboutée en cour d’appel aux États-Unis.