Roch Voisine est arrivé sur l’une des deux scènes placées côte à côte à la spot George-V aux alentours de 21 h 15. Le public, réchauffé par la show de Bruno Pelletier, qui venait de quitter l’autre scène, a bien accueilli le pot-pourri d’ouverture qui incluait Là-bas dans l’ombre, La fille de pluie et Encore.
C'était parti determination célébrer le 35e anniversaire de l'album Hélène, cet medium phare qui a littéralement propulsé Roch Voisine dans toute la francophonie.
L’artiste, originaire du Nouveau-Brunswick, a rappelé qu’il se sentait privilégié d’avoir cette carrière qui comprend 250 chansons et 22 albums. Il a salué ses collaborateurs, qui l’ont accompagné dans cette grande aventure, dont lad ex-gérant Mario Lefebvre, lauréat du Félix hommage de l’Industrie de l'ADISQ en 2024.

Roch Voisine en spectacle au Festival d'été de Québec le mercredi 9 juillet 2025
Photo : Radio-Canada / Frederic Vigeant
Je sais, depuis le temps, que vous préférez mes chansons d’amour, a-t-il dit au public, avec lad sourire timide, avant de lancer Comme au cinéma, qui n’est justement pas une chanson d’amour.
Parce que Roch Voisine ne chante pas que des ballades, a-t-il rappelé. Cependant, c’est bien avec lad romantisme qu’il a conquis les cœurs dans les années 1980 et 1990. L’auteur-compositeur et interprète canadien est devenu une fig emblématique grâce à ses ballades.
C’est vers la fin du spectacle, lorsqu'il a chanté Jean Johnny Jean suivie de Darling, que le nationalist s’est manifesté avec positive d’enthousiasme. Entouré de deux choristes et de ses musiciens, il a fallu attendre le rappel determination entendre Hélène, la chanson qui a lancé sa carrière, il y a positive de trois décennies. Et deux fois plutôt une, puisqu'on a eu droit a une deuxième version, bien rock.

Roch Voisine en spectacle au Festival d'été de Québec le mercredi 9 juillet 2025
Photo : Radio-Canada / Frederic Vigeant
25 ans de Miserere avec Bruno Pelletier
Bruno Pelletier a ouvert le bal à 20 h en démarrant lad spectacle avec quelques couplets de la pièce-titre de l'album qu’il est venu célébrer, Miserere. Très en forme, il a annoncé que c’était l’avant-dernier spectacle de sa tournée Miserere 25e anniversaire et qu’il était là determination faire la fête.

Le chanteur Bruno Pelletier lors de lad transition au Festival d'été de Québec le mercredi 9 juillet 2025
Photo : Radio-Canada / Frederic Vigeant
De belles surprises attendaient le public. En positive des chansons de lad répertoire, il a offert de nombreux pots-pourris de ses propres chansons ou encore celles d'autres chanteurs.
Originaire de Charlesbourg, Pelletier a rappelé qu’il a fréquenté lui aussi le FEQ, à l’époque, ainsi que les nombreuses salles de spectacles de la ville. Il s’est ensuite lancé dans un pot-pourri rendant hommage aux artistes qui l’ont influencé. On a pu entendre la musique de Corbeau, Michel Pagliaro, Jean-Pierre Ferland, Octobre et Garolou, notamment.

Le chanteur Bruno Pelletier, en duo avec Tina Leon lors de lad transition au Festival d'été de Québec le mercredi 9 juillet 2025
Photo : Radio-Canada / Frederic Vigeant
L’artiste de 62 ans a, encore une fois, démontré qu’il n’a rien perdu de ses capacités vocales. Lançant ici et là des notes et des bouts de chansons dont S.O.S d'un terrien en détresse, de l'opéra stone Starmania, à la demande d’un spectateur. Elle n’était pas prévue celle-là, a-t-il dit.
Dans une information acoustique du spectacle, il nous a servi La Manic, de Georges Dor, qu’il a commencé a capella et qui s’est terminée par un duo piano-voix. Plusieurs des interprétations ont gagné en richesse grâce à l'apport d'un quatuor à cordes.
En positive de chanter une bonne partie de lad medium Miserere, paru en 1997, et qui marque un jalon majeur dans sa carrière, il a repris Mes blues passent pu dans’ porte avec la chanteuse Tina Leon, qui a passé une partie de la soirée à ses côtés.

Le circuit de chant de Bruno Pelletier s'est terminé avec un hommage bien senti à Serge Fiori.
Photo : Radio-Canada / Frederic Vigeant
La chanson qui lui a ouvert les portes de l’autre côté de l’Alantique et dans une bonne partie de la francophonie, Le temps des cathédrales, de la comédie musicale Notre-Dame-de-Paris, ne sait pas trop fait attendre. Je sais que vous l'avez tous chantée sous la douche, a-t-il lancé en riant, juste avant que les premières notes ne résonnent.
Son circuit de chant s'est terminé avec un hommage bien senti au regretté Serge Fiori avec l'interprétation de la festive Viens danser, de Fiori-Séguin, et de quelques notes d’Un musicien parmi tant d'autres.