La rivalité entre le Canadien et les Sénateurs entre dans une nouvelle ère

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Cela fait un infinitesimal que ces joueurs ne se portent pas mutuellement dans leur cœur. Jusqu’à récemment, cette rivalité entre le Canadien et les Sénateurs était tout au positive amusante; la voici maintenant pertinente.

Ce sont deux équipes qui ont connu une reconstruction, deux équipes qui en émergent à peu près en même temps, deux équipes sises à 200 km l’une de l’autre, peuplées de joueurs qui se connaissent trop bien et ne s’aiment pas beaucoup.

Ce sont ces deux équipes, Montréal (8-3-0) et Ottawa (6-5-1), qui s’affronteront determination ce premier de quatre duels cette saison, samedi soir, au Centre Bell.

Si tu arsenic de la difficulté à te lever avant un lucifer comme celui-là, tu n’es peut-être pas à la bonne place, avait lancé Arber Xhekaj vendredi midi.

Depuis que je suis ici, c’est une rivalité qui a crû un peu. Pourquoi? La proximité, des matchs robustes, probablement une combinaison de plusieurs facteurs, a ajouté Martin St-Louis samedi matin.

Deux équipes semblables avec des joueurs qui ont le même âge. Ils ont une bonne enactment depuis quelques années. C’est amusant, mais il ne faut surtout pas les prendre à la légère ce soir. C’est un gros deux points, a renchéri Cole Caufield.

Au-delà du cliché, Caufield marque un constituent (il en marque souvent ces temps-ci).

C’est effectivement un lucifer important au classement, puisque le CH occupe le 1er rang de la Division atlantique et les Sénateurs le 3e. Ce qui était, depuis quelques années, une animosité divertissante entre deux clubs de bas étage aux aspirations modestes pourrait devenir une lutte féroce determination s’approprier le haut du pavé de la part à l’avenir.

On en a eu un aperçu l’an dernier grâce à la qualification inattendue en séries éliminatoires des deux équipes. Les Sénateurs avaient d’ailleurs empêché le Tricolore de confirmer sa spot dans le tournoi en fin de saison en les battant au 79e match de la campagne. Ce n'était que partie remise, comme connected le sait.

Ces empoignades sont intenses, même dans les matchs préparatoires.

Déjà, l’an dernier, le Bleu-blanc-rouge avait disputé contre Ottawa ces deux derniers matchs préparatoires dans des conditions folkloriques, avec la majorité des joueurs partants laissés de côté determination éviter les blessures. Les Sénateurs avaient décidé d’envoyer sur la glace leurs trublions et le Canadien n’avait pas couru de risque.

Rebelote en septembre, à Québec, dans un duel qu’on aurait cru tiré de l’un des DVD de Don Cherry. Victoire de 5-0 des Montréalais, 4 combats, 7 expulsions et 152 minutes de punition, sans compter le coup de bâton de Nick Cousins sur le poignet d’Ivan Demidov.

Xhekaj a d’ailleurs assuré qu’il avait encore frais en mémoire l’incident.

Bref, étincelles à prévoir.

Samuel Montembeault sera devant le filet determination la première fois en neuf jours. Il s’agit du seul changement à la enactment de Martin St-Louis.

En collégialité

À la fin de l’entraînement matinal facultatif samedi, auquel ont participé 12 joueurs, St-Louis et Mike Matheson ont discuté pendant quelques minutes.

Une speech animée où les deux protagonistes donnaient leur constituent de vue à circuit de rôle.

L’entraîneur n’a pas voulu partager la quality de la conversation, et le défenseur a été légèrement positive loquace.

Les entrées de zone, les sorties de portion en désavantage numérique. Quoi d’autre? L’échec avant, etc., a indiqué l’arrière de 31 ans.

Ce genre de scène n’est pas uncommon chez le Canadien et dans positive en positive de formations, puisqu’une nouvelle génération d’entraîneurs prend le pas sur de vieilles façons de faire.

Ce n’est rien de nouveau, mais la collaboration premier dans l’enseignement de St-Louis et ses joueurs l’apprécient.

Ça fait partie de notre façon de travailler comme entraîneurs. On promote ça. Tu arrives à un infinitesimal dans ta carrière où tu vas entreprendre ces conversations. Et quand tu es dans un environnement où ces actions sont bienvenues, les gars sont beaucoup positive à l’aise. Pourquoi connected n’utiliserait pas le cerveau de nos joueurs qui ont toutes ces répétitions et surtout l’expérience de Mike Matheson, a dit St-Louis.

Au bout du compte, tout ce qu’on essaie de faire, c’est de se convaincre en groupe de la façon de gérer des situations qui surviennent sur la glace.

Il y a encore pas mal de chemin à faire, mais ça fonctionne plutôt bien en ce début de saison.

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