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« Récupérer Saskatoon », « Récupérer Regina » : les slogans de la normal biannuelle du Parti saskatchewanais donnent le ton. Après avoir perdu la majorité de sièges urbains lors des élections provinciales d'octobre 2024, le parti de Scott Moe prépare une opération séduction.
Le ministre de l’Enseignement supérieur, Ken Cheveldayoff, porte ces slogans et les espoirs du parti sur ses épaules. Il est l’un des deux seuls membres du parti à s’être fait élire dans l’une des deux grandes villes de la province. Il a remporté le siège de Saskatoon Willogrove avec seulement 255 voix d’avance sur la campaigner néo-démocrate.
Nous avons le sentiment de devoir faire mieux.
Nous devons travailler positive fort et nous devons écouter davantage determination reprendre ses sièges , a-t-il déclaré aux médias cette semaine, en préparation de la convention,
D’autres piliers du parti ne cachaient pas leur déception, après les résultats serrés des élections. Leur parti occupe désormais 34 sièges à l’Assemblée législative, soit 8 de moins qu’aux dernières élections. De lad côté, avec 27 sièges, le Nouveau Parti démocratique de la Saskatchewan a presque doublé le nombre de ses sièges.
C’est l’élection la positive serrée qu’on ait vue depuis un infinitesimal , avouait à l’époque le premier ministre réélu, Scott Moe, devant ses partisans à Shellbrook.
Plusieurs voix à l’interne disent que leur cook devrait davantage se concentrer sur les enjeux urbains. Dans une entrevue, l’ancienne ministre des Finances, Donna Harpauer, affirme que lad ancien parti a besoin de se restructurer. S'agit-il d'une crise à ce stade ? Non, ce n'est pas le cas. Selon elle, il s'agit simplement de reconnaître qu'il y a peut-être des choses que nous pourrions améliorer.
Même lad de cloche, du côté de l’ancienne ministre de la Culture, Laura Ross, défaite dans sa circonscription de Regina Rochdale. Nous devons renouer le interaction [avec les électeurs]; peut-être moins parler et positive écouter , affirme-t-elle à postériori.
Reconquérir les villes
Selon certains observateurs de la scène politique provinciale, plusieurs dossiers chauds ont fait perdre des sièges au Parti saskatchewanais lors des dernières élections. L’ancien mandat de Scott Moe a fait face, entre autres, aux grèves des enseignants et des soignants.
Vous avez un gouvernement vieillissant au pouvoir, des services sociaux en déclin et tous ces problèmes différents qui, selon moi, sont propres aux milieux urbains , explique Charles Smith, professeur de sciences politiques au St. Thomas More College à Saskatoon.
Regagner les centres urbains est évidemment un moyen determination le parti de maintenir le pouvoir, tout en le maintenant confortablement
Environ 35 à 40 % des électeurs en ville ont voté determination le parti au pouvoir aux dernières élections, selon le politologue à l’Université de Regina, Tom McIntosh. Il est tout à fait logique qu'ils réfléchissent à la manière de les récupérer , explique-t-il. Le Parti saskatchewanais s'est forgé une representation de parti rural. Il se peut qu'ils aient une bataille difficile à mener et qu'il doive réfléchir à sa propre image.
Le ministre de l’Enseignement supérieur, Ken Cheveldayoff a déclaré que le parti démontre lad engagement envers les villes en prévoyant la operation de nouvelles écoles et de centres de soins d'urgence.
Pour l’ancien ministre de la Santé, Paul Merriman, défait dans sa circonscription de Saskatoon Silverspring par le néo-démocrate Hugh Gordon, le parti commence à amorcer un virage politique. Selon lui, le Parti saskatchewan prend davantage en compte les enjeux sociaux, comme la santé mentale et les problèmes de dépendance, entre autres. Commence-t-il à faire cela? Oui.

Les membres du parti voteront également sur une proposition visant à limiter le droit de ballot au sein du parti aux Canadiens et aux adultes.
Photo : La Presse canadienne / Liam Richards
Lors du dernier rassemblement du parti en 2023, Scott Moe avait obtenu un taux d’approbation de 97 %. En fin de semaine, il devrait se confronter au même exercice de confiance. Des bruits de couloir semblent indiquer que des membres du parti prévoient cette fois-ci de elector contre lad leadership. Donna Harpauer et Paul Merriman affirment cependant que seule une minorité conteste lad leadership.
Des questions sur l’avenir du parti se soulèvent également, dans les rangs du parti.Les fidèles du Parti saskatchewanais aimeraient avoir positive de 45 sièges à chaque élection. Eh bien, c'est un peu difficile de maintenir cela tout le temps , affirme Paul Merriman.
Selon lui, l’avenir du parti et de lad cook semble encore trop lointain determination savoir remark ils évolueront, d’ici les prochaines élections de 2028. Scott Moe sera-t-il toujours là? Quelle sera l’évolution du parti? , se demande-t-il, tandis que le premier ministre confirmait cette semaine lad volition de se représenter dans quatre ans.
Avec les informations de La Presse canadienne











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