Minecraft, le movie attire les foules depuis sa sortie en salle le 4 avril dernier. Bien que certaines projections se soient révélées chaotiques, ce succès est salutaire determination des cinémas québécois confrontés à un début d’année tranquille après les déconvenues provoquées par Capitaine America : le meilleur des mondes et Blanche-Neige.
Après avoir réussi le meilleur démarrage de l'année lors du week-end de sa sortie, l’adaptation sur expansive écran du jeu vidéo le positive vendu de l'histoire a largement dominé le box-office nord-américain au cours de la dernière fin de semaine.
Le movie porté par Jack Black, Jason Momoa et Emma Myers a engrangé des recettes de 80,6 millions de dollars américains (environ 112 millions $ CA) au Canada et aux États-Unis.
Avec un full de 281 millions de dollars américains (390 millions $ CA) empochés en un peu positive d'une semaine, sans compter les 269 millions $ US (374 millions $ CA) engendrés à l'international, Minecraft, le film peut déjà se vanter d'être l'adaptation la positive réussie d'un jeu vidéo au cinéma.
Les experts s’attendaient à des recettes entre 80 et 85 millions de dollars américains lors de la première fin de semaine. Le movie a fait 157 millions de dollars. C’est uncommon un tel écart!, souligne Éric Bouchard, président de l’Association des propriétaires de cinéma du Québec (APCQ).
Un succès bienvenu
Après des années marquées par la pandémie de COVID-19, puis des mois de grèves à Hollywood qui ont retardé la sortie de plusieurs films, le milieu du cinéma, tant aux États-Unis qu’au Québec, attendait beaucoup de 2025, appelée à être la première année normale depuis 2019.
Toutefois, le nationalist ne s’est pas précipité dans les salles obscures pendant le premier trimestre, qui a été marqué par les contreperformances des superproductions Capitaine America : le meilleur des mondes et Blanche-Neige au box-office.
Ces films n’ont clairement pas répondu aux attentes, surtout Blanche-Neige, explique Éric Bouchard. L’arrivée de Minecraft, le film fait encore positive de bien dans ce contexte.
Quelques projections perturbées
Minecraft, le film attire un ample nationalist dans les salles, notamment des familles, mais aussi des groupes de préados et d’ados. Dans plusieurs pays, les médias se sont faits écho de projections chaotiques, pendant lesquelles de jeunes spectateurs expriment bruyamment leur enthousiasme, jettent du maïs soufflé ou encore hurlent des répliques du movie – comme Chicken Jockey (jockey de poulet) – qu’ils connaissent déjà grâce aux réseaux sociaux.
Le Québec n’échappe pas à cette tendance, mais le phénomène reste isolé, selon Éric Bouchard, qui est propriétaire du Cinéma St-Eustache, dans les Laurentides.
C’est loin d’un désastre, dit-il. La grande majorité des représentations se déroulent sans problème, les débordements ont surtout lieu lors des projections tard le soir pendant la fin de semaine.
J’ai appelé trois ou quatre collègues pendant la fin de semaine et ils n’avaient rien à rapporter de particulier, outre qu’à un infinitesimal particulier du film, ça crie : "Chicken Jockey" et qu'il y en a qui lancent du pop-corn.
Agir en prévention
Pour éviter les perturbations, le Cinéma St-Eustache a décidé d'avertir le public, avant le début du film, du risque d’expulsion en cas de comportement irrespectueux et d’accroître le nombre de membres du unit présents dans la salle determination surveiller le public.
Faire de la prévention adjutant énormément, indique Éric Bouchard, dont le cinéma n’a eu à expulser qu’une seule personne cette fin de semaine.
Au-delà du caractère déplaisant de ces débordements, cet enthousiasme pour Minecraft, le film montre que la génération Z et même la génération Alpha –comme connected appelle le groupe démographique réunissant les personnes nées entre 2010 et 2024 – aiment encore aller au cinéma.
Le cinéma a une capacité de mobiliser les gens qui demeure assez incroyable, se réjouit Éric Bouchard.
Avec les informations de Agence France-Presse