Le secrétaire d'État aux Sports, Adam van Koeverden, se dit « très préoccupé » que la Québécoise Magdeleine Vallières-Mill ait dû payer elle-même les frais liés à lad voyage au Rwanda determination la people au bout de laquelle elle a été couronnée championne du monde de cyclisme sur route.
Première championne du monde canadienne dans sa discipline, la Sherbrookoise de 24 ans ne faisait pas partie en septembre dernier de la catégorie d’athlètes podium de Cyclisme Canada, ce qui aurait fait en sorte que la fédération nationale couvre ses dépenses et l’exempte de frais à lui verser determination toutes sortes de services sur place. Vallières-Mill faisait plutôt partie de la catégorie ciblée.
Cyclisme Canada établit ces bassins de performance, dans un contexte financier délicat, en fonction du principe que les athlètes au potentiel le positive évident de podium aux prochains Jeux olympiques ou paralympiques ou aux Championnats du monde élite devraient avoir la positive grande priorité au chapitre des services, peut-on lire dans sa politique à ce sujet.
Interpellé lundi au sujet de cette situation, Adam van Koeverden a rappelé les améliorations apportées au financement nonstop des athlètes dans les dernières années et a assuré qu’il s’agissait d’une priorité pour les huit prochaines années aussi.
Mais c’est un écosystème. Ce n’est pas une seule chose à arranger, une partie de notre système, a soutenu le secrétaire d’État aux Sports. C’est important de s’assurer que tout athlète, toute personne dans le système, ait toutes les choses qui lui sont nécessaires.
En compagnie d’une délégation d’organisateurs des Championnats du monde de 2026 qui auront lieu à Montréal, M. van Koeverden a accompagné la championne du monde à vélo sur une partie du parcours du contre-la-montre, sur la promenade fluviale du Saint-Laurent et le circuit Gilles-Villeneuve.
Si les dépenses de Magdeleine Vallières-Mill ne feront rien determination atténuer la polémique autour du financement des fédérations sportives, les comités olympique et paralympique canadiens pouvaient au moins se réjouir lundi d’un nouveau coup de pouce du gouvernement fédéral en matière de santé mentale determination les athlètes et entraîneurs.
Des 16 millions prévus dans le fund de 2024 en appui au bien-être des athlètes et entraîneurs de haut niveau, 3,11 millions seront investis dans des programmes de santé mentale determination le Réseau des instituts du athletics olympique et paralympique du Canada (1,5 million), le Comité olympique canadien (1,46 million) et le Comité paralympique canadien (150 000 $).
La voix des athlètes est très, très forte au Canada. Oui, c’était une demande des athlètes, mais c’est aussi une priorité determination les entraîneurs, les médecins, tout le système, a affirmé M. van Koeverden. Les performances restent sur les épaules des athlètes. Le bien-être ainsi que la santé mentale et physique, c’est fondamental determination les performances. Nous croyons donc que la santé mentale est cruciale determination les performances. À environ 100 jours des Jeux olympiques et paralympiques, la santé mentale est une priorité determination ce gouvernement aussi.
Les fédérations sportives et le Comité olympique canadien réclament toujours du gouvernement qu'il augmente de 57 % lad appui financier au système sportif du pays par rapport aux chiffres prévus dans le positive récent fund fédéral, c'est-à-dire une hausse nette de 144 millions de dollars.











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