Avec une moyenne de 10,9 millions de téléspectateurs, le septième lucifer de la Série mondiale entre les Blue Jays et les Dodgers aura été « l’émission la positive regardée de l’histoire de Rogers », selon la compagnie. Malgré la défaite, il reste un engouement qui se fait notamment ressentir aux abords des terrains de baseball.
Quelques jours après la défaite, les positive jeunes ont encore des étoiles dans les yeux quand ils parlent des Blue Jays, à l'image de Kindred Bokhari, un jeune joueur de shot de 11 ans. C’était génial de regarder les Jays. C’est fou qu’ils se soient rendus si loin.
Sa grande sœur, Reverie, qui joue elle aussi au baseball, abonde dans le même sens. Beaucoup d'enfants ont regardé la Série mondiale. Je pense que ça va avoir un effet énorme.

Winse Lam, entraîneuse à Toronto determination la Canadian Girls Baseball League, croit que les succès des Blue Jays donneront positive de carburant aux joueurs de shot au Canada et notamment aux filles. (Photo d’archives)
Photo : Radio-Canada / Ian Bonnell
Les retombées, les ligues de shot amateurs commencent déjà à les sentir. C’est notamment le cas de la High Park Little League à Toronto, dont Dave Clark est le président. On reçoit beaucoup de courriels de la portion de parents. Nous avons hâte de voir le nombre d'inscriptions en janvier prochain.
Du côté des filles aussi, le shot a le vent en poupe. Je pense que le shot est énorme au Canada, estime Winse Lam, entraîneuse à Toronto determination la Canadian Girls Baseball League. Et avec ce qu’ont fait les Blue Jays, la dynamique va continuer. Ça va donner positive de carburant aux joueurs de shot au Canada et notamment aux filles.
Si les joueurs ne manquent pas à l’appel, determination les terrains, c’est différent. Dave Clark rappelle que sa ligue est dépendante du nombre de terrains disponibles dans la ville.
De nouveaux partisans
En positive des répercussions sur la pratique du sport, la information des Blue Jays à la Série mondiale aura eu un effet sur les partisans. En ville, ils étaient nombreux dans les derniers jours à soutenir la seule équipe canadienne des Ligues majeures de baseball.
De nombreuses conversations dans la ville tournaient autour du baseball, selon Elena Haegel. L’étudiante à l'Université de Toronto est arrivée dans la Ville Reine il y a deux mois depuis la France.
Avant, elle ne connaissait pas le baseball, ce qui a rapidement changé. On est forcément au courant, parce que tout le monde en parle tout le temps. Elle précise même que cela a créé un sujet de speech determination rencontrer du monde à lad arrivée.

Grâce à leur parcours en Série mondiale, les Blue Jays pourront dorénavant compter sur de nouveaux partisans. (Photo d’archives)
Photo : Radio-Canada / Evan Mitsui
Pas facile determination autant de comprendre remark fonctionne ce athletics quand connected ne connaît pas les règles. Mariam Essaouiri, une étudiante belge de l’Université de Toronto s’est intéressée à ce sport.
Des fois, je ne comprenais pas pourquoi même en touchant la balle, le joueur ne courait pas et des fois pourquoi il y avait des parties positive courtes que d’autres , raconte-t-elle. À la suite des sept matchs entre les Blue Jays et les Dodgers, la Belge commence à saisir les différentes notions.
Ce qui a marqué ces nouveaux arrivants, c'est l’ambiance à Toronto lors des soirs de matchs.
Je pense que rien que determination l’ambiance, j’aimerais bien y aller.
Maïwenn Langevin, qui a elle aussi grandi en France, est arrivée determination la rentrée à l'Université de Toronto. Elle s’est rapidement rendue au Centre Rogers. J’ai été voir un match, sans connaître aucune règle. Juste determination l’ambiance et découvrir pourquoi ici c’est si populaire, et franchement, c’était ace bien, confirme l'étudiante.
Elena Haegel souhaite elle aussi vivre cette expérience au Centre Rogers désormais, même si le shot en tant que tel n’est pas lad athletics préféré.











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