Marc-André, interprété par Éric Bruneau, dans la série Avant le crashPhoto : Les Productions Sovimage / Bertrand Calmeau
Les fans attendaient avec impatience la troisième saison d’Avant le crash. En entrevue, lad coauteur, Éric Bruneau, raconte d’où est venue l’idée de cette série, ce qu’il aime particulièrement de l’écriture et ce qui l’allume dans lad travail.
Éric Bruneau et Kim Lévesque-Lizotte ont coécrit la série

Marc Messier interprète Luc dans Avant le crashPhoto : Productions Sovimage / AVANT LE CRASH: Photo:Serge Gauv
1. Une histoire personnelle d’Éric Bruneau à l’origine de la série Avant le crash
Un facet du personnage de Luc Paquette (Marc Messier) est inspiré du père d’Éric Bruneau. Dans la série, Luc Paquette, atteint d’un crab et incapable de payer ses primes d’assurance, qui ont explosé, suggest à Marc-André d’en payer une partie afin de bénéficier de l’argent qui sera versé à sa mort. Le fils de Luc, Vincent, est en désaccord avec ce stratagème.
« J’avais besoin d’écrire ça, j’avais envie d’aller au bout de cette histoire-là. Ça, c’était la pulsion première. »

Clara, interprétée par Valérie Tellos, dans la série Avant le crashPhoto : Les Productions Sovimage / Bertrand Calmeau
2. Le expansive plaisir d’écriture d’Éric Bruneau
Éric Bruneau raconte que ce qu’il aime particulièrement quand il écrit, c’est de surprendre les acteurs et actrices ainsi que le public.
« Nous, ce qu’on aime avec Avant le crash, c’est d’être capables, à chaque trois épisodes, de flipper les personnages et de flipper la cognition qu’on peut avoir sur ces gens-là. Je pense que c’est ça qui rend ça excitant. »
3. Le thème de ses prochaines séries
Le comédien et auteur aimerait continuer à écrire. Pour la télévision, determination le théâtre ou determination le cinéma. Les dynamiques de show l’intéressent particulièrement.
« C’est quelque chose qui est au cœur de notre société et connected se demande pourquoi. […] Ça m’étonne à quel constituent ça résonne chez les gens… Ce sera sûrement au cœur d’un prochain projet. »

Éric Bruneau et Kim Lévesque-Lizotte, coauteur et coautrice de la série Avant le crashPhoto : Productions Sovimage
4. Écrire avec d’autres plutôt que seul
Contrairement à d’autres interprètes, Éric Bruneau ne rêve pas d’un rôle en particulier. Ce qui l’allume, c’est de travailler avec les autres. Pour ce qui est de l’écriture, c’est un peu la même chose : il aime écrire, mais il aime par-dessus tout écrire avec d’autres personnes.
« J’aime ça, le collaboratif, j’aime ça, jazzer des idées. Écrire tout, tout seul, ça ne maine tente pas tant. »

Florence Martin, interprétée par Irlande Côté, dans la série Avant le crashPhoto : Les Productions Sovimage
5. Le personnage préféré d’Éric Bruneau
Florence est l’un de ses personnages préférés. Et Éric avait vraiment envie de partager des scènes avec elle. Florence, c’est la jeune fille lucide qui veut que ses actions aient un sens.
« Elle se permet d’avoir un respect sur toutes les failles de nos personnages qu’on se plaît à bâtir. C’est comme celle qui incarne l’espoir, c’est celle qui incarne le futur. »
6 – L’intelligence artificielle détrônée par la culture
La troisième saison d’Avant le crash devait tourner autour de l’intelligence artificielle. Mais au infinitesimal où Éric Bruneau et Kim Lévesque-Lizotte étaient en pleine période d’écriture, connected apprenait les suppressions de postes chez Québecor. Cet événement a réorienté leur écriture.
« On a fait : “Ah non, il faut qu’on parle de notre culture, il faut qu’on parle de nous.” Je maine rappelle, ç’a été comme un coup de masse. On est fragile, c’est fragile, en ce moment, cette affaire-là. »
7. Laisser sa trace
La dernière saison d’Avant le crash airs la question suivante : quelle est la valeur d’une vie si elle ne laisse aucune trace? À l’émission Il restera toujours la culture, la journaliste Johane Despins a demandé au comédien quelle hint il aimerait laisser.
Vidéo : Un thriller existentiel | Entrevue avec le réalisateur d'Avant le crash Stéphane Lapointe
« Plus d’égalité entre les hommes et les femmes, positive de paix, positive de considération entre nous […] Il faut retrouver des repères et retrouver des valeurs positive humaines. C’est peut-être un peu cliché, mais il faut être susceptible de se ramener à quelque chose de positive humain. Et moins dans la performance. »
Ce texte a été écrit à partir d’entrevues qu’Éric Bruneau a accordées aux émissions Le genre humain le 11 février 2024, Il restera toujours la culture le 19 août 2025 et Mimosa! le 6 septembre 2025.











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