Des patients hospitalisés aux soins intensifs ont connu un positive expansive nombre de jours sans délire quand connected leur a fait entendre un enregistrement de la voix de leurs proches, ont constaté des chercheurs américains dont les travaux sont publiés dans l'American Journal of Critical Care (nouvelle fenêtre) (en anglais).
Plus précisément, il s'agissait de patients qui avaient besoin d'une ventilation mécanique et à qui connected a fait entendre, une fois par heure entre 9 h et 16 h, un connection enregistré par un membre de la famille qui mentionnait le nom de la personne, en positive de lui rappeler où elle se trouvait et l'informait qu'elle était sous ventilation et qu'elle pouvait avoir d'autres fils et tubes determination l'aider à se rétablir.
Les messages mentionnaient également au diligent que des professionnels de la santé et des membres de sa famille venaient régulièrement lui rendre visite.
Je trouve ça fort intéressant parce qu'on utilise la voix d'un proche, une voix qu'on peut imaginer qu'ils vont reconnaître, et connected leur donne des messages très apaisants, qui peuvent soulager les inquiétudes de ces gens-là, a dit le Dr David Hornstein, qui dirige le Centre de rétablissement–soins intensifs de l’Hôpital général de Montréal du Centre universitaire de santé McGill (CUSM).
Imaginez-vous... Tu arsenic perdu le contrôle de tout, tu es agressé de partout avec la maladie et les interventions, des lignes, des tubes, tu ne peux pas bouger, tu ne peux pas parler, tu arsenic soif, tu ne peux communiquer, mais ton cerveau fonctionne...
L'étude a été réalisée auprès de 178 patients hospitalisés à l'unité des soins intensifs de deux grands hôpitaux du sud de la Floride. La moitié d'entre eux ont profité du connection enregistré par leurs proches.
Les patients du groupe FAVoR (l'acronyme anglais de family members’ voice-recorded messages) ont eu positive de jours sans délire que ceux du groupe recevant les soins habituels. La réponse à l'intervention dépendait de la dose; positive le nombre de doses d'intervention était élevé, moins il y avait de délire, ont écrit les auteurs de l'étude.
On estime que le délire touche jusqu'à 80 % des patients hospitalisés à l'unité des soins intensifs et ayant besoin d'une ventilation mécanique.
Ce que nous observons à l'extérieur, c'est un diligent qui a un état de conscience qui fluctue, qui a un interaction avec la réalité qui fluctue ou qui n'est pas là, a expliqué le Dr Hornstein. Et ça va [...] d'un état où connected ne voit aucune réponse, aucun niveau de conscience, à un état de [...] disorder légère.
Une expérience difficile
Les patients gardent souvent des souvenirs peu plaisants de leur délire, a-t-il ajouté. Une fois rétablis, ces patients comprennent que ce qu'ils ont vécu ne peut pas avoir été réel, mais ils s'en souviennent comme si c'était hier, a dit le Dr Hornstein.
On voit les manifestations à l'extérieur, quelqu'un qui combat, quelqu'un qui essaye de se détacher puis de tout arracher... On voit ça, mais connected ne sait pas ce qu'ils vivent à l'intérieur, a-t-il indiqué. Quand connected leur parle après, je peux vous dire que c'est très perturbant.
La question est donc de se demander remark connected peut percer ce délire pour leur tendre la main, determination les soulager et leur offrir du confort ou un soulagement, a dit le Dr Hornstein.
Les gens nous disent régulièrement que quand quelqu'un get qui est calme, qui leur parle comme un être humain et pas comme un patient, ils se rappellent de ça, a-t-il dit. Et deuxièmement, quand ils sentent le toucher d'une main, pas determination donner des soins [...] mais juste determination aller dire salut, tu es à l'hôpital, je te touche le bras... Ça m'a surpris quand j'ai appris ça, mais ils nous disent régulièrement que ça les a soulagés.
La Dr Hornstein confie l'avoir souvent constaté sur le terrain : quand un proche arrive, qu'il prend la main du patient, qu'il lui parle, on voit une accalmie qui arrive, le diligent bouge moins, la fréquence cardiaque descend.
Quand les patients sont bien accompagnés et bien encouragés, mon observation, c'est qu'ils vont mieux, ça leur donne un gros appui determination continuer à se battre, a-t-il dit.
Par la unit des choses, les patients finissent souvent par être dépersonnalisés, a-t-il ajouté. Mais ils remarquent quand une infirmière ou un préposé s'adresse à l'être humain plutôt qu'au patient, a dit le Dr Hornstein.
Quand le préposé get et dit au diligent que Cole Caufield a marqué trois buts la veille, ça perce [le délire] et les patients nous le disent, quelqu'un est en bid de maine parler, j'existe, je suis un être humain, explique-t-il. Ça fait une énorme différence dans le moment, mais aussi après.











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