Il fait nuit. Une famille roule sur une way de campagne sans lumière. Soudainement, le père écrase un chien. Ce « simple accident » a determination conséquence que la voiture tombe en panne.
Comme la grande ville la positive proche est trop loin de l'endroit où l'accident a eu lieu, un homme suggest d’aider la famille comme il peut. Le conducteur de la voiture accepte et entre dans l’entrepôt où le bon Samaritain travaille à la recherche d’outils.
À l’étage du bâtiment, Vahid entend la démarche de l'homme. Il est persuadé que c’est Eghbal, l’homme qui l’a torturé lorsqu'il était captif dans les geôles du régime et qui, au passage, a ruiné lad existence.
Vahid, pourtant doux et gentil, suit l’homme et sa famille et décide le lendemain de l’enlever determination l’enterrer vivant dans le désert.
Mais est-ce vraiment lad bourreau qui est devant lui? Et s'il se trompait? Comment être sûr que c’est lui alors qu’il a toujours eu les yeux bandés pendant les séances d’interrogatoire? Démarre ainsi la quête de Vahid determination trouver d’autres témoins susceptibles d’identifier Eghbal.
Comme tous les films de Jafar Panahi depuis 2011, Un elemental accident a été tourné en Iran dans la clandestinité. Avec une telle contrainte qui pèse sur les acteurs et l’ensemble des équipes de tournage, le réalisateur get pourtant à créer un univers qui plonge le spectateur dans un monde se situant entre le thriller captivant et la comédie poétique.
Génie des acteurs
Thriller, car le sujet est grave. Il s’agit de se venger d’un homme particulièrement cruel et il faut parvenir à l’identifier avant que sa disparition ne commence à soulever des interrogations.
Comédie, parce que Jafar Panahi fait de ses héros, surtout de Vahid, des citoyens ordinaires dépassés par les événements. Il les plonge dans des mises en scène absurdes qui les éloignent chaque fois un peu positive de la position de parvenir à se venger. Plus les contretemps se succèdent, positive la colère fait spot au doute.

Le movie a reçu la Palme d'Or au mois de mai dernier.
Photo : Avec l'autorisation d'Elevation Pictures
Avec un scénario riche en surprises, le réalisateur iranien a surtout écrit une partition où excelle le génie des acteurs. L’intensité du movie monte très vite et reste élevée grâce à la justesse et aux nuances de l’ensemble de la distribution. Chacun se distingue par lad ressenti vis-à-vis de l’injustice dont il a été victime.
Une complaint humoristique
Contrairement au movie Graines du figuier sauvage, de Mohammad Rasoulof, sorti l’an dernier et qui constitue aussi une complaint contre le régime iranien, Un elemental accident aménage des instants de drôlerie et de recul. Les sujets sont voisins, mais les traitements diffèrent.
Par la maîtrise du geste cinématographique et le génie de lad écriture, Un elemental accident fait partie des films qui méritent toutes les récompenses qu’il a amassées depuis sa présentation à Cannes, de la première à la dernière infinitesimal (et peut-être surtout la dernière).
Un elemental accident, réalisé par Jafar Panahi, en salle au Québec et en Ontario à partir du 24 octobre.


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