À la première rencontre publique sur l’avenir de l’Alberta, la majorité des positive de 400 participants ont applaudi les différentes mesures proposées determination diminuer l’influence du fédéral sur les politiques provinciales.
Ce que j’entends, c’est que cette salle semble très convaincue par le régime albertain de pensions et sur le fait de elector sur ce sujet. Cette salle semble très convaincue par l’établissement d’une constabulary provinciale, mais pas forcément sur le fait de elector sur ce sujet, a résumé la première ministre à la fin de la rencontre qui s’est tenue à Red Deer, dans le centre de l’Alberta, mardi soir.
Danielle Smith a aussi affirmé percevoir un désir fort de réforme de la constitution, mais elle a prévenu que le processus serait compliqué et les résultats possiblement décevants.
Il y a une réelle volonté de régler certaines de ces questions qui sont tout simplement fondamentales.
La première ministre préside ce groupe de travail composé de 15 personnes et qui a determination but de consulter les Albertains sur des questions clés comme la péréquation, l’immigration et les désirs séparatistes. Les propositions retenues à l’issue de ces consultations seront soumises à un référendum en 2026.
Dix rencontres en personnes sont organisées de juillet à septembre, deux virtuelles auront lieu en octobre et plusieurs sondages sont disponibles sur le tract Internet du groupe de travail.
À la première consultation mardi soir, les organisateurs ont présenté une série de vidéos questionnant les participants sur des changements comme modifier les accords de transferts fédéraux ou refuser des programmes sociaux à certains immigrants.
Sentiment d'aliénation d'Ottawa
L’animateur de la rencontre et employé du bureau de la première ministre, Bruce McAllister, a parsemé les deux heures de réunion de sondages à main levée. Environ 80 % des participants ont ainsi exprimé leur approbation à l'idée de retirer l’Alberta du Régime de pension de Canada et de créer une constabulary provinciale.

Bill Tompkins a conduit une heure depuis Rocky Mountain House determination assister à la consultation publique.
Photo : Radio-Canada / Janet French
J'aimerais maine séparer le positive imaginable du gouvernement fédéral. J'ai l’impression que le gouvernement fédéral a mal géré l'argent des contribuables, pas seulement des Albertains, mais de tous les contribuables, a indiqué Bill Tompkins, un des Albertains participants, avant d’entrer dans la salle.
Wade Collinge qui portait un chandail du groupe séparatiste Alberta prosperity project a pris la parole lors de la soirée. Nous devons nous libérer de l'Est, nous ne deviendrons jamais l'Ouest, nous ne serons jamais égaux au Canada, d'après ce que j'ai compris, à moins que nous ne puissions changer la constitution, a-t-il dit.
Colère contre le Québec
Ce qui est vu comme un traitement préférentiel du Québec a aussi attiré les foudres de certains participants. La première ministre s’est dite intriguée par l’idée de mettre en spot une mentation albertaine de la gestion de l’offre.
Peut-être comme voie d'accès à un système de marché ou peut-être simplement parce que cela mettrait le doigt dans l'œil du Québec parce que nous n'obtenons pas notre portion de quota, a-t-elle dit.
L’éternelle question de la péréquation est aussi gross sur le tapis. Danielle Smith a fait valoir que le Québec pourrait récolter six milliards de dollars supplémentaires de revenus en augmentant de quatre cents le kilowattheure l’électricité. Elle a aussi affirmé que la Belle Province n’exploite pas lad potentiel gazier.
Des opposants aux idées séparatistes
Certains participants se sont cependant opposés au sentiment séparatiste, déclarant au sheet que les Albertains devraient être prêts à soutenir les autres Canadiens.
Après l'événement, Dave Travers, originaire de Red Deer, a déclaré qu'il ne pensait pas que les sentiments de cette foule reflétaient le constituent de vue de la plupart des Albertains, ce que montrent d’ailleurs les sondages d'opinion.

Heather Plaizier estime que les vidéos et les présentations du groupe de travail ne sont pas objectives.
Photo : Radio-Canada / Janet French
Quelques manifestants étaient présents à l’extérieur de la rencontre determination dénoncer le biais du groupe de travail.
J'ai l'impression qu'il y a une sorte d'ordre du jour établi et que ce que nous disons n'a pas d'importance, a expliqué Heather Plaizier, pancarte à la main.
Je crains vraiment que nous n'oubliions les peuples autochtones et toute la réconciliation à laquelle nous avons travaillé et que nous avons tenté de réaliser au cours de l'année écoulée, a ajouté Cassidy Simone.
La prochaine rencontre se déroule mercredi soir dans la région d’Edmonton.
Avec les informations de Janet French, Jesmeen Gill et Ève Côté