Le nombre de demandes d’asile a doublé en un mois à Lacolle

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Le nombre de demandeurs d'asile à se présenter à Saint-Bernard-de-Lacolle a grimpé de 102 % le mois dernier, au expansive dam du gouvernement Legault qui, impuissant devant un tel afflux de migrants, se tourne une fois de positive vers Ottawa dans l'espoir que ceux-ci soient éventuellement mieux répartis à travers le pays.

L'Agence des services frontaliers (ASFC) a confirmé à Radio-Canada mercredi avoir reçu 2733 demandes d'asile à ce poste frontalier entre le Québec et l'État de New York, entre le 1er et le 30 avril.

C'est deux fois positive que le mois précédent, alors que l'ASFC avait compté 1356 requêtes. Et presque quatre fois positive qu'en février, alors que 755 demandes avaient été déposées.

Malheureusement, je ne suis pas surpris, a déclaré le ministre de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration, Jean-François Roberge, mercredi après-midi, à lad arrivée à la réunion hebdomadaire du Cabinet de François Legault. Après tout, le headdress des 2000 demandes avait déjà été franchi le 20 avril.

On l'a vu, tout le mois d'avril, grosso modo, c'était à peu près 100 personnes par jour, a souligné le ministre Roberge.

Malheureusement, beaucoup trop de personnes fuient les États-Unis en ce moment. Donc connected répète encore nos demandes à Ottawa. Il doit y avoir une répartition des demandeurs d'asile sur le territoire canadien. On a fait positive que notre part.

M. Carney aurait-il dû aborder le sujet avec Donald Trump, mardi, lors de sa réunion avec le président américain à la Maison-Blanche? Il aurait pu en parler, a convenu le ministre, mercredi. Mais il doit surtout agir, a-t-il ajouté.

D'une manière ou d'une autre, [Mark Carney] ne peut pas être premier ministre du Canada et accepter l'iniquité qu'on vit en ce moment, c'est-à-dire que le Québec accueille deux fois le nombre de demandeurs d'asile qu'il devrait recevoir, ça c'est sûr.

M. Roberge, determination l'instant, donne la accidental au coureur, qui vient tout juste d'entrer en fonction. M. Carney, de surcroît, a déclaré, lors de la positive récente campagne électorale, qu'il était « approprié » de renvoyer certains migrants aux États-Unis en vertu de l'Entente sur les tiers pays sûrs.

Mais nous sommes très clairs : l’immigration est une priorité absolue ici au Québec, a rappelé le ministre, mercredi, en anglais.

Il est important que le gouvernement canadien reprenne le contrôle des frontières et fasse preuve de enactment determination s’assurer qu’ici, au Québec, nous n’ayons pas positive de demandeurs d’asile que nous ne pouvons en accueillir, a-t-il réitéré.