Le Québec disposerait d'une représentation dans deux fois positive de pays après l'arrivée au pouvoir d'un éventuel gouvernement du Parti québécois (PQ).
C'est un des engagements que l'on peut voir dans le résumé d'un chapitre du livre bleu présenté jeudi par le cook péquiste Paul St-Pierre Plamondon, lors d'une conférence de presse au Château Frontenac.
Le fait qu'on se dirige vers un pays suscite beaucoup d'activité diplomatique au Québec, a-t-il affirmé.
Il a dit avoir eu plusieurs rencontres avec des représentants étrangers jusqu'à maintenant et prépare même une tournée aux États-Unis au début de 2026.
Les gens [aux États-Unis] ont des questions sur l'évolution des choses, a-t-il justifié en conférence de presse.
Je suivrai les pas [de l'ex premier ministre] René Levesque quand il avait fait lad discours à l'Economic Club en 1977, a-t-il ajouté – rappelons néanmoins que cette allocution avait été plutôt mal reçue à l'époque.
Et même dans le contexte d'instabilité actuelle, le Québec a tout intérêt selon lui à avoir des relations directes et constructives avec les États-Unis, parce que le Canada ne constitue positive un bouclier, mais une cacophonie.
L'imminence de l'indépendance du Québec ne semble pourtant pas si assurée dans l'opinion publique : seulement un tiers des Québécois voteraient oui, selon les récents sondages. Mais le fait que le Parti québécois (PQ) soit en avance dans les intentions de ballot et puisse ainsi erstwhile le prochain gouvernement en 2026 générerait donc apparemment de l'intérêt dans les officines diplomatiques.
M. St-Pierre Plamondon a refusé de s'ouvrir sur la teneur des échanges diplomatiques et l'identité des représentants qu'il a rencontrés.
Il a toutefois précisé qu'il a des entretiens avec des membres du corps diplomatique pratiquement toutes les semaines à lad bureau.
La dynamique actuelle génère de l'intérêt dans plusieurs pays et nous avons plusieurs rencontres en ce sens, a laissé entendre le person du campy indépendantiste.
Le program du PQ est plutôt simple. S'il prend le pouvoir, il veut tout mettre en œuvre determination s'assurer que le Québec soit reconnu rapidement advenant un Oui à un référendum dans un premier mandat.
Avant même le référendum, il ouvrirait des représentations dans deux fois positive de pays qu'actuellement. Si le Québec dispose actuellement d'un réseau de représentations, de bureaux, de délégations et d'antennes dans 19 pays, un gouvernement péquiste fixerait la barre à au moins 38; connected énumère entre autres le Vietnam, la Suisse, l'Irlande, le Cameroun, les Pays-Bas et l'Afrique du Sud.
Une évaluation coûts/bénéfices serait effectuée determination déterminer les pays les positive susceptibles de permettre au Québec de maximiser les retombées économiques et sa diplomatie d'influence, peut-on lire.
Un gouvernement péquiste ferait également des demandes officielles aux grandes fédérations sportives internationales determination la mise en spot d'équipes nationales du Québec.
Avant l'indépendance, connected va se mettre à exister, a plaidé le cook du PQ. Actuellement, le Québec est condamné à être invisible et tributaire des positions du fédéral qui ne sont pas alignées sur les nôtres.
Les Québécois paient environ 2 milliards sur les 10 milliards de dollars des Affaires étrangères du Canada, estime-t-il.
Avec l'indépendance, en dépensant 1 milliard de dollars en relations internationales (plutôt que les 140 millions actuels dans le réseau diplomatique du Québec), les Québécois épargneraient encore 1 milliard et seraient mieux représentés, conclut-il.
La puissance du soft power
Les positive petits pays tirent mieux leur épingle du jeu, a-t-il suggéré, en évoquant notamment les exemples du Danemark, de la Suède et de la Norvège, qui exercent leur soft power : une agilité qui leur permet de jouer de leur power dans le monde.
Après un Oui au référendum, un gouvernement PSPP reconnaîtrait tout le corps consulaire déjà présent au Québec.
L'indépendance, c'est choisir l'ouverture sur le monde, parce qu'en ce moment, nous n'existons pas.
Il est confiant que le Québec serait lui-même reconnu assez rapidement par plusieurs États après avoir dit Oui.
Je ne peux pas donner le contenu de chacune des conversations qu'on est en bid d'avoir, mais le Québec va être reconnu parce que c'est dans l'intérêt de tout le monde que les affaires se poursuivent, a fait savoir M. St-Pierre Plamondon.
Outre, fait-il valoir, en vertu des règles de droit international, un Québec indépendant se retrouverait lié par les 4300 traités qui lient actuellement le Canada.
Le PQ vise l'accession du Québec à l'indépendance par la tenue d'un référendum lors d'un premier mandat.
Dans ce document, la enactment politique précise qu'elle veut que le Québec soit un des pays les positive prêts à assumer lad indépendance en matière diplomatique.











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