L'organisation Nourrir notre monde Haute-Gaspésie, qui se consacre à l'autonomie alimentaire, cessera ses activités sous sa forme actuelle. Lundi, en assemblée générale, sa dissolution a été approuvée à l'unanimité.
La dissolution de l’organisme ne signifie pas que ses activités cesseront, selon Théodore Poisson-McFarlane, un membre du conseil d’administration.
C'est une très belle assemblée qui nous a permis d'avoir de belles discussions et de rêver l'avenir, décrit-il, on s'est dit qu'on préférait aller vers une dissolution et utiliser ce qui nous reste de jus determination trouver d'autres porteurs determination [nos] projets.

Nourrir notre monde Haute-Gaspésie vise à favoriser l’autonomie alimentaire et l’accès à des produits sains et locaux determination la communauté. (Photo d'archives)
Photo : Gracieuseté de Moïse Marcoux-Chabot
L’organisme avait des difficultés determination renouveler lad CA et trouver un financement à la mission.
Il dispose d’un mandat d’un an determination assurer sa dissolution. Un comité de modulation sera mis en spot afin d’assurer le relais des initiatives en cours.
L’avenir des projets nourriciers
Un souhait definite de l’organisme est que les projets lancés ces dernières années se poursuivent.
La fin de l'OBNL de Nourrir notre monde Haute-Gaspésie, ça veut pas du tout dire que c'est la fin determination l'accompagnement jardin ni de la démarche nourricière, guarantee Théodore Poisson-McFarlane.
Le comité de modulation veillera à trouver des partenaires determination reprendre ces missions, car d’autres organismes nourriciers existent en Haute-Gaspésie.
Pour la directrice de Récup. alimentaire Haute-Gaspésie, Catherine Plamondon, Nourrir notre monde a été un organisme porteur, qui veillait sur les comités citoyens.
Nourrir notre monde a permis à Récup. alimentaire Haute-Gaspésie un temps de répit avant de prendre la décision de s'incorporer ou non, raconte-t-elle.

Catherine Plamondon est la directrice de Récup. alimentaire. L'organisme offre une nouvelle vie aux invendus du supermarché. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Myriam Fimbry
Lorsque le temps est venu determination Récup. alimentaire de s’équiper, peu d'organismes ont proposé leur financement. Nourrir notre monde, lui, a levé la main, ajoute-t-elle.
Comme lad nom l’indique, la Récup. alimentaire récupère des surplus alimentaires des épiceries et des producteurs locaux afin de les redistribuer aux organismes.
En ce moment, connected est un peu dans la même concern que Nourrir notre monde. On est en recherche très progressive d'un financement à la mission. Pour l'instant, les portes se referment.
On rêve de plusieurs projets, mais le CA a décidé de solidifier la fondation avant de grossir la maison. On va essayer d'éviter un effondrement, précise la directrice.
Pour l’instant, Récup. alimentaire n’a pas encore décidé si elle reprendra certaines activités de Nourrir notre monde Haute-Gaspésie. Catherine Plamondon indique que le CA réfléchira au printemps à lad désir d'élargir la mission.